Un arbre dont le tronc occupe la presque totalité de l’écran, énorme, majestueux, animal, est d’abord accompagné d’une longue litanie aux percussions. Un plongeon dans de multiples métamorphoses, un rêve peut-être, va s’accompagner d’éclats de percussions.

Le rythme des images y est constant, fluide, à l’image de la prise de vue qui a fondé ce film. A l’unicité et à la constance de la présence de cet arbre, la musique répond par la multiplicité des voix des flûtes, éparses, anarchiques, et par l’entrée soudaine de percussions....